Le monde d'Azgeb

Ecrire pour survivre
Ecrire pour ne pas trop oublier
Ecrire pour rire
Ecrire pour pleurer
Ecrire pour laisser une trace
Ecrire pour dire que l'on existe
Ecrire pour écrire
Ecrire....

Briseuses de coeurs
Briseuses d'humeurs
Briseuses de peur
Elle se ballade de bonne humeur
Briseuses de rêves
Briseuses de trêves
Briseuses de grèves
Elle se ballade sans rancoeur
Elle brise
Elle brise
Elle brise tout et tout le monde
C'est son bonheur
Elle ne sait même pas
Le mal qu'elle fait
Quand elle commence à le faire
Elle brise et réduit à néant
Tout espoir et toutes chances
Ses prétendants auront bien
Du mal à la comprendre
Pauvres âmes
Ils finiront bien esseulés
Elle les aura vidé bien avant qu'ils ne le remarquent
Elle brisera leurs coeurs
Car toute leur douceur
Toute leur tendresse
N'apaisera pas sa faim
Sa soif d'ivresse
Les repoussant toujours
Quand ils deviennent encombrants
Elle ne peut les aimer
Tout autant que cette ivresse
Qui la pousse de l'avant
Martirise des coeurs encore et encore
Elle ne s'y attache jamais
Tout ce romantisme la tue
Elle fuie loin de tout cela
Bien qu'elle aprécie ce genre de scène
Il ne faut pas que pour elle
Cela dur plus d'une semaine
Elle accepte beaucoup de choses
Une femme facile
Un peu trop compliquée
Qui ne voudra jamais aimer
Ceux qui l'aiment pour ce qu'ils voient
Elle aimera seulement sa Princesse
Et peut être un jour son Prince
Mais elle n'en ai pas encore là...

Dans ce joli et
Plaisant
Sommeil nocturne
Des rêves
Stupides
Incohérents
Et magnifiques
A la fois
Si agréables que
Je m'y laisse
Plonger
Submerger
Dans ces tourbillons de l'inconscient
Et la panique
La panique inconsciente
Incohérente
Inévitable
Comme un cauchemar
Dans un monde
Joyeux
Mes poumons ne veulent
Plus d'air
J'étouffe
Je cherche désespérement
L'air
Mes yeux pleurs
Mon corps pleurs
Je ne sais pourquoi
Cette peur est si envahissante
Incompréhensible
Si forte
Qu'elle me réveille
Dans cet état
D'angoisse
L'insomnie me reprends
Peur de dormir
Et de nouveau
Être en proie à cette terreur
Cet effroi
Dès que mes yeux se fermeront
La nuit ne trouvant plus le repos
Le jour angoissant de nouveau
Il semble que mon corps tremble
Que mon coeur tremble
Tremble de froid
D'effroi
La sueur de la peur
Me colle dans mon lit
Mon coeur palpitant
N'aime pas suivre ce rythme
Beaucoup trop pressant
Et pourtant je ne crie
Ni ne demande
L'aide de qui
Pourra me calmer
Pourrais-je pleurer
Dans ses bras?
Ses bras?
Quels bras,quel personne?
Ne vois tu pas
Qu'il n'y a personne
You're alone
Sweet whore
Angoissante
Effrayante
Et pourtant tout tourne carré
dans ton univers sacré
Quand vas tu te décider
Décider à te calmer?

Cette légende raconte l'histoire de la jument d'un fermier,noire comme la nuit,d'un fort caractère mais très courageuse face à le tache qui faisait la fierté de ce fermier.
Un jour pourtant,cette jument ne voulu rien savoir du fermier et devint récalcitrante au point d'en devenir dangereuse.Le fermier pensa d'abord que cela était du à son caractère,ou au temps orageux qui s'annoncait,mais plus le fermier esayait d'en tirer quelque chose et plus la jument se rebiffait.Convaincu qu'elle était dans un mauvais jour mais inquiet il mit sa jument dans le pré voisin et la laissa là toute la journée.Ayant abbatu plus de travail cette journée que d'habitude le fermier oublia de ramener sa jument dans l'écurie le soir,et s'endormi,sans rien penser d'autre qu'a trouver un peu de repos.
Cette nuit un violent orage éclata,les arbres craquaient,le sol tremblait,le vent mugissait et la pluie commenca à marteller le sol.La jument prise dans la tourmente chercha à s'abriter,et on pense qu'elle se réfugia dans la forêt.Pourtant un éclair bien plus fort que les autres la frappa de plein fouet.Elle aurait du s'éffondrer sous le choc,morte.
Mais une étrange transformation s'opéra:
Sa robe noire devint progressivement blanche,puis elle devint de plus en plus élancé,taillé pour la vitesse,et une protubérance apparue sur son front.La où l'éclair avait frappé.En quelques minutes une corne apparu de couleur noire,rappelant l'ancienne couleur de la jument.La première licorne était née.
L'orage diminua en intensité,et la pluie devint bruine.
Au matin le fermier se réveilla en hâte,se rappelant que sa jument avait passé la nuit dehors par un temps calamiteux.Il courru donc jusqu'à l'enclot et là il découvrit non pas sa jument noire,mais la licorne blanche.Croyant que cela venait de ses yeux encore fatigué par la nuit agité il regarda encore,puis ferma de nouveau les yeux avant de se convaincre que le cheval qui se trouva là était bien une licorne.
Il essaye de l'appeller par l'ancien nom de sa jument,Caprice,et la licorne arriva au petit trot,posa sur lui un regard étrangement comprehensif,et lui dit ceci:
"Fermier tu as été bon avec moi malgrès la rude vie que tu mènes,et pour te remercier de ta bonté,l'orage a décidé de faire de moi cet animal que tu contemple.Grâce à ma corne je pourrais exaucer tes voeux.Mais sous conditions.
Tu ne devras jamais oublier qui tu es.
Tu ne devra pas mentir.
Tu sera toujours honnête.
Tu ne m'exploitera plus."
Le fermier lui promit de faire comme la licorne disait.
Et il s'empressa de la ramener à l'écurie.
Se sentant de nouveau jeune et plein d'audaces il vint vers la licorne et lui dit:"J'ai besoin de 100pièces d'or."
Et il toucha sa corne magique.Son voeux s'accomplit.100pièces d'un or étincelant venaient d'apparaitre dans sa main.
Remerciant la licorne pour ce miracle,il parti au village dans la taverne la plus chère.Il paya une tournée général remerciant sans cesse sa bonne fortune.
Se mettant à boire plus ue de raison il raconta meli melo l'histoire fabuleuse de la licorne qui était dans son écurie.Tout le monde le prit pour un fou,par contre son argent interessait,et beaucoup essayaient de s'attiré la bonté du fermier qui donnait son argent à ceux qu'il jugeait méritant.
A la fin de la journée, il était redevenu aussi pauvre qu'avant,dépouillé et humilié.Il rentra dans une rage terrible et voulu se venger des paysans qui s'était moquer de lui.Il déclencha une bagarre alors qu'il n'avait jamais su se battre,et il finit bien entendu,roué de coups.
Il rentra chez lui dépité,et honteux,maudissant son village.Alors il retourna voir la licorne dans l'écurie et lui demanda un autre souhait,celui de tuer ses ennemis.
La licorne le regarda et lui tint ses propos:
"Fermier,tu n'a pas respecter mes conditions,tu as oublier qui tu était en jouant les riches à la taverne,de plus tu t'es menti à toi même en te croyant supérieur.Je ne peux excaucer ton voeux.Et parce que ta colère t'aveugle je vais disparaitre dans la forêt,et plus jamais je ne reparlerais aux hommes cupides."
Et sur ce, la licorne s'enfuie en direction de la forêt.Le fermier essaya tant bien que mal de la récupérer mais se perdit en forêt et ne la revit jamais.
Des décénies plus tard on raconte que certaines femmes ou jeunes filles apercoivent une licorne,d'autres disent qu'elles possèdent des poulains de celles-ci.Mais personne n'a pu aprocher l'un d'eux ou confirmer ces dires.
Cette histoire est la plus proche de celle que l'on raconte.Dans certaines on dit qu'un jour la licorne reviendra proposer ses services.

J'ai donné mon coeur
Pour mon plus grand bonheur
A un gentil gnome
Mon bel homme
Qui me fait connaître
Ce qu'est le verbe être
Avec lui aimer
C'est bien mieux que de rêver
Dis moi encore
Ces mots doux
Qui comme tes caresses
Font frissoner mon corps
Je veux pour moi tout
ce qui est tendresse
Parcourant ma peau
De tes mains
Tout en moi devient chaud
Quand c'est déjà demain?
Tu croque ma bouche
A chaque fois que je te touche
Comme un avertissement
A ce plaisir iminnent
Sauvons nous du monde
Il est trop immonde
Allons à l'autre bout du monde
Faisons un beau voyage
Pour enfants pas sages
Que nous ne sommes pas
Bine entendu tu sais cela
Bande de sales gosses
Mais pas féroce
Une sâle môme
Et son gentil gnome
Dis moi encore
Que je vaux de l'or
Dis moi toujours
Oh mon amour
Que tu m'aimera toujours
Tant besoin de toi
Et de la confiance que tu place en moi
Prends moi dans tes bras
Dis moi qu'il n'y a que moi
Dans tes jolis yeux
Je nous vois tout les deux
Quel monde merveilleux
Que celui que nous crééons
C'est beau nous nous aimons....

Il est là
Je sais cela
Me fais découvrir
Par tout ces sourires
Les plus belles merveilles
Voila que je m'éveille
A ce nouvel univers
Je n'ai plus d'hier
Je tend les mains
Il me promet des demains
Oh bel amant
Prince charmant
De mes jours de mes nuits
Quelle belle vie
Que celle que je méne
Tout ça parceque je t'aime

Pa d'idées ce soir
Bizarre bizarre
Je contemple ma page blanche
Rien ne viens
C'est rare
Je suis à la recherche de mon inspiration....
Ah mais si voilà J'ai retrouvé mon histoire.
Celle de mon espoir....

Un jour avec toi
Un jour dans tes bras
Un jour pour toi
Un jour comme toi
Un jour comme ça
Rien que toi et moi....
Voir le futur
Comme ce jour
Renouvellé
Pour nous
Par nous
En nous
A ton coeur éloigné
Je sais que je te reverrais....

Tu es mon soleil
Tu es ma lumière
Grâce à toi se réveille
Tout un univers
C'est un monde en couleur
Rempli de bonheur
On y vit tout les jours
Et ça s'appelle l'amour.

Nouveau départ....
Je pars, nouveau voyage, il n'est pas tard
Personne pour me retenir, je m'en irai avec un joyeux sourire
J'ai ralentis pour toi, mais encore une fois
Ce n'était pas le bon, je te trouverais mon vagabon.
Tu es ce que j'attend, celui que je poursuis dans le vent.
Je ne t'ai jamais vu, mais je t'aurais reconnu
Si seulement tu daigné te montré.
Je poursuis mon chemin de Bohème, et je sais que je t'aime
Je te poursuivrais jusqu'à te trouuver, Toi, mon parfait
Parfait amour, ou ce jour durera toujours
Pour toi je vis, pour toi je souris
Mais je suis impatiente, comme l'amante
qui attend le retour de son amoureux
A quand nos jours heureux?....

Je l'ai trouvé!!!!